Les nouvelles pratiques d'engagement des jeunes posent des défis majeurs aux organisations, qui commencent à trouver des solutions pour que tous y trouvent leur compte.

De nouvelles formes de recrutement et d'actions émergent dans l'Économie sociale et solidaire, en phase avec des jeunes nés avec le numérique et très réactifs.

Association qui fédère des structures en lien avec l’Éducation nationale, l’Esper œuvre pour diffuser l’économie sociale et solidaire au sein des établissements scolaires.

Au collège Beaumanoir de Ploërmel, des élèves ayant connu l’échec scolaire s’occupent d’une boutique solidaire, découvrent l’ESS et reprennent confiance en eux.

Avec la distanciation, les acteurs et les bénéficiaires se sont confrontés à une numérisation de leurs pratiques, interrogeant une fracture sur le terrain de la solidarité.  

Proposé par l'association Grandir Dignement, le service civique adapté aide à se réinsérer des jeunes entre 16 et 25 ans ayant eu des conflits avec la Justice.

Cette association implique sur le terrain de l’économie sociale et solidaire des étudiants de l’enseignement supérieur avec des acteurs du monde du conseil.

En France, le nombre de bénévoles est passé de 11 300 000 à 13 197 000 entre 2010 et 2016, soit une augmentation de 16,8 %. Avec en plus les services civiques.

Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.

Dans son makerspace de 3 500 m², ICI Marseille connecte l’artisanat avec l’économie sociale et solidaire et des jeunes éloignés de l’emploi.