L’association VRAC (Vers un réseau d’achat en commun) plante chaque mois son épicerie solidaire dans de nombreux quartiers prioritaires en France. Reportage à Paris.

Les Éco-Charlie et Biocycle combattent la précarité en intégrant les précaires dans leur lutte contre le gaspillage et en informant sur la réduction des déchets.

À Niort, cette épicerie propose des produits de qualité, locaux, bio ou de première nécessité dont le prix varie en fonction des revenus de chacun, en tout anonymat.

Au CHU du Rouvray, des patients en souffrance psychique et des personnes de l’ESAT Les Ateliers du Cailly se réinsèrent, ensemble, grâce à l’agriculture bio.

Dans l’Aisne, la ferme de Moyembrie accueille des détenus en fin de peine, qui préparent ainsi leur sortie de détention en s’ouvrant de nouvelles perspectives.

Les épiceries sociales et solidaires se développent : il y en a environ 1000 en France en 2018, alors qu’il n’y en avait presque aucune il y a dix ans.

Primo-arrivants, sortant de détention ou en rupture dans leur parcours professionnel, les salariés en insertion reprennent ici confiance en eux et en demain.

L’association Ensemble, un lieu pour des liens solidaires à Achères (ELLSA) : des ateliers, une AMAP, une épicerie solidaire et la ferme urbaine d’Intégraterre.

Le programme Compagnonnage de Fermes d’avenir réserve chaque année 12 places à des personnes réfugiées, qui se forment et travaillent dans des fermes.

Implantée sous un immeuble social parisien, cette ferme bio est au cœur du tissu social et de l’écosystème d’entraide du quartier La Chapelle.