-
Tiers-lieux : là où l’open coule de source (1)
Qui sont celles et ceux qui « habitent » les tiers lieux, ces espaces tout à la fois laboratoires de la ville, du terroir et du travail de demain ? État des lieux.
-
Pas de solidarité sans écoute de l’altérité
Tirée du livre Nos futurs solidaires, une grande conversation, riche en réflexions, sur la notion de solidarité, ses sources, ses principes et ses modalités idéales.
-
LinkedOut, le réseau professionnel de ceux qui n’en ont pas
Partager le CV de personnes dénuées d’emploi et de réseau, c’est le principe de LinkedOut. Un petit clic pour chacun, un grand pas pour l’inclusion sociale ?
-
Comment vraiment prendre soin du métier d’infirmière ?
Et si les hôpitaux, pour attirer et retenir les soignants, repensaient leurs modes de fonctionnement ? Second volet de notre enquête sur la profession infirmière.
-
Devenir infirmière aujourd’hui, et après ?
Le métier d’infirmier semble rester attractif au regard de la demande de formation. Et pourtant beaucoup d’infirmières le quittent. Premier volet de notre enquête.
-
L’Esper, faire vivre l’ESS à l’École
Association qui fédère des structures en lien avec l’Éducation nationale, l’Esper œuvre pour diffuser l’économie sociale et solidaire au sein des établissements scolaires.
-
Le réel solidaire de la science-fiction
Réinventer l’entraide, le vivre-ensemble et les multiples formes de solidarité, c’est possible. Les quatorze nouvelles du livre Nos futurs solidaires le démontrent.
-
Les défis de l’accès aux soins de support
Afin d’offrir à tous et partout l’accès au sport adapté et au soutien psychologique, social ou professionnel, des associations et acteurs du soin se mobilisent.
-
Gaspiller moins, redistribuer plus
Les Éco-Charlie et Biocycle combattent la précarité en intégrant les précaires dans leur lutte contre le gaspillage et en informant sur la réduction des déchets.
-
Et si les initiatives des makers enrichissaient le monde du soin ?
Permettre aux makers d’enrichir de leurs pratiques solidaires le monde du soin ne pourrait-il pas s’avérer durablement bénéfique au-delà de l’urgence sanitaire ?